DIRCOM: un bouc émissair idéal

Does the function of "internal communication officer" in reality come down to being the perfect scapegoat? Jean-Marc Décaudin & Jacques Igalens (2009) sure seem to think this way. Consider the following paragraph from their book:

"La grandeur et la difficulté de la communication interne sont entièrement contenues dans cette confusion des genres: on n'ose pas toujours reconnaître que derrière l'arbre de la communication se cache la forêt de la participation. Il est banal de rappeler qu'en entreprise, communiquer c'est à la fois informer et écouter mais l'écoute ouvre tout naturellement la voie au désir que ce qui est dit soit reconnu, considéré, éventuellement pris en compte. Communiquer, c'est entrer en relation, échanger et il est presque inévitable que cet échange engendre des attentes dont l'insatisfaction risque de rejaillir sur la communication elle-même (p. 8)." 

How do internal communication professionals feel about this? Looking forward to the empirical operationalization of my PhD research. Excited to see the results that will come out.

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Cheers,

Mark

Reference of the citation:

DECAUDIN (Jean-Marc) & IGALENS (Jacques). La Communiction Interne. Stratégies et techniques. Paris, Dunod, 2009, 218 p. ISBN: 97821000528981